Je poste les nouvelles que j'ai reçu de Sadarta il y a quelqus temps...
Partie 1
C'est le matin, un punaise de matin qui ressemble à tous les autres.
Dehors comme d'habitude, il pleut, on entend le bruit des klaxons résonner.
On peu sentir une sale odeur de hot dog mélangée à celle des pots d'échappement.
Clint city.
A l'intérieur sa pue la clop, à force de fumer l'odeur s'est incrustée dans tous les recoins.
Sur le parquet git plusieurs bouteilles de wiski. J'ai pas les yeux assez réveillés pour vous dire combien.
Ma piaule.
Je regarde le réveil : 8h34
zut ch'suis encore en retard.
Le commisaire va surment encore m'engueuler...rien à foutre
Aujourd'hui, comme tous les 1er de chaque mois, je dois lui faire mon rapport.
Répondre pendant d'interminables heures, aux incessantes questions posées par un porc en costard.
Et recevoir dans la figure ses innonbrables poustillons, je sais pas vous?... mais moi c'est pas mon truc.
Sans oublier bien sûr la paprasse à remplir et leurs conneries syndicales.
Au fait !
J'ai oublié de me présenter :
Je m'apelle Carlos, et je suis flic.
Je suis sorti 1er de ma promotion, et mes bonnes notes m'ont donné le droit de rentrer directement à la criminel,
au service des renseignements pour étre exact.
Sa va faire douze ans que je joue les larbins pour ces connards de gradés.
Je passe mon temp à risquer ma peau pour gagner une misére.
Vous l'avez surment compris....j'aime pas mon boulot.
Partie 2
J'enfile mon jean mon débardeur, prend mon flingue et ma plaque, descend les escaliers et me
retrouve sur le trotoir.
Tout en marchant, je tiens mon insigne dans la main gauche, et la caresse du bout des doigts.
Pour tout vous dire, je l'ai pas souvent sur moi, la plupart du temps elle prend la poussiére au fond de mon tiroir.
Si je la porte pas, c'est pour une raison toute simple, je suis ce qu'on apelle une "taupe".
Il y'a deux ans on m'a donné comme mission d'infiltrer un gang, je vais pas vous dire son nom mais je suis sur que vous
en avez déja entendu parlé , il sévit sur la ville depuis pas mal d'années.
Je suis pas du genre à m'embarrasser de sentiment pendant mon boulot, mais là je vous l'avoue, ça devient dur.
Bref on va pas s'éterniser sur le sujet, je peux pas vous en dire plus et j'ai pas envie de prendre le risque de bousiller ma
couverture.
J'arrive au commisariat. L'ensemble se constitue de gros batiments rectangle, aux facades sombres et froides avec des briques
grisses et de grandes fénetres, ou on ne peut pas voir au travers, à cause de la saleté.